Moi je pense pareil puisque Nomadisch remonte le fleuve on a la rive gauche du fleuve à tribord. C'est donc comme pour rentrer dans un port de mer on laisse les balises rouges sur son bâbord et les vertes sur le tribord du bateau. et à moins d'avoir fait un rapide zigzag ce n'est pas ce qui s'est passé ! Annie
Et non on ne recule pas ! Effectivement les balises vertes devraient être à tribord, bravo. En fait pour être doublés tranquillement on a pris la passe interdire du pont, sous les conseils avisés du batelier !
Il fait bon naviguer sur le Rhône, et au bout de quelques jours, certains bateaux commencent à être familiers. Retour sur les navires de commerces croisés en chemin. Le Luxemotor Alizarine : croisé à Avignon, c'est le grand frère de Nomadisch, même chantier et même année de construction mais quelques mètres de plus ! Leur projet d'entreprise fluviale de transport éco-responsable est visible sur www.bateau-alizarine.fr et facebook.com/bateaualizarine . L'automoteur Bounty : espérons que les matelots ne se révolteront pas ! Le pousseur Espoir et sa barge Julienas Le pousseur Europa, pousseur venant du Rhin, appartient à Mr Schmutz de Loire-sur-Rhône L'automoteur Evasion Le Frederic Mistral : bateau hydrographe de la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), qui permet de réaliser la mission de surveillance hydrographique du chenal navigable et du lit mineur du Rhône de Lyon à la mer L'automoteur Guadiana : Un des trois plus grand au...
Et voilà, tout est planifié, la remontée du bateau de Béziers à Besançon se fera du samedi 13 juin au mardi 7 juillet ! Et c'est là que vous intervenez ! Il faut être 2 sur le bateau pour naviguer, mais plus on est mieux c'est. Il y a toujours des choses à faire ! Alors contactez-moi pour vous inscrire pour cette navigation qui s'annonce pleine de richesses. Vous pouvez venir sur 1 jour ou plusieurs jours, 1 semaine, et même sur l'ensemble du parcours !
Si l’on fait abstraction des litres de fioul consommés pour se déplacer, du butane utilisé pour l’eau chaude et du problème du chauffage non encore résolu, on peut dire que le bateau a franchi une étape vers son autonomie énergétique. L’électricité à bord est enfin obtenue avec des panneaux solaires et des batteries ! Informations techniques : Les panneaux (à midi par un ciel sans nuage) ont une capacité totale de 1840Wc. Le parc de 12 batteries à une capacité de stockage de 1320Ah (en 24V), soit 144Ah en 220V (en vidant complètement les batteries). Le tout est complété par 2 chargeurs contrôleurs DC MPPT 100/50, un régulateur Victron Quattro et un transformateur d’isolement. La conception et la partie électrique ont été réalisées par Ecopart , un grand merci à eux ! Retour en image sur cette installation. Il a d'abord fallu retirer les écoutilles d'origine, et construire un toit en acier pour fermer la cale et pouvoir ensuite poser les panneaux s...
Les balises vertes ne devraient-elles pas être à tribord ?
RépondreSupprimerEn montant, on devrait laisser les vertes à tribord, non ?
RépondreSupprimerMoi je pense pareil puisque Nomadisch remonte le fleuve on a la rive gauche du fleuve à tribord.
RépondreSupprimerC'est donc comme pour rentrer dans un port de mer on laisse les balises rouges sur son bâbord et les vertes sur le tribord du bateau. et à moins d'avoir fait un rapide zigzag ce n'est pas ce qui s'est passé !
Annie
ou bien c'est qu'il recule lol
RépondreSupprimerEt non on ne recule pas ! Effectivement les balises vertes devraient être à tribord, bravo. En fait pour être doublés tranquillement on a pris la passe interdire du pont, sous les conseils avisés du batelier !
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