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Le voyage Saint-Jean-de-Losne - Besançon vu par Franck

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Jeudi 9 Juin 2016 : Nomadisch nous attend avec une ancre neuve et une hélice tout comme. Le Mousse (Franck) de fortune, livre son Capitaine en moto, à son vaisseau flottant sur l'atelier de St Jean de Losne. 1h de navigation après, la grue du Nomadisch se voit dévorée par la fermeture des portes de la première écluse télécommandée du parcours. Nomadisch subit déjà son navigateur, distrait par des tiers à quai... La suite de la traversée du jour jusqu'au terminal de Choisey fut plus tranquille, malgré l'amateurisme de son moussaillon. "CON CEN TRA TION" de l'équipage mille sabords !!! Puis Myriam, et la petite tribu de la bienveillante Florence, dégusteront les farcis de l'amitié, en terrasse du vaisseau Hamot. Les anecdotes de navigations des convives donnent un spectacle hilarant au dîner flottant. Vendredi 10 Juin 2016 : 9h00, grand beau comme la veille, nouveau départ après un p'tit déj' vitaminé au Nutella. Traversée plus calme dan...

Retour sur la mise en cale sèche à Saint-Jean-de-Losne

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Mise en cale sèche à Saint-Jean-de-Losne Nomadisch à côté de la Reine Pédauque Retouche de peinture Dépose du safran Et voilà, l'hélice est partie chez l'hélicier pour une petite remise en forme ! L'ancienne ancre (250 kg) et la nouvelle (160kg) plus adaptée La nouvelle ancre de Nomadisch ! L'hélice comme neuve ! Et voilà, tout est remonté, on peut enfin partir !!!

Petite balade d'avril, invitant à la ballade

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En avril, le temps commença à être clément, les écluses ouvrirent, les bateaux de location se mirent à sillonner le canal du Rhône au Rhin et le Doubs. Une très bonne période pour emmener Nomadisch au chantier de réparation ! Mais c'était sans compter sur Murphy et sa fameuse loi. Le départ fût prévu le 16 avril, à dix heure. A midi pétantes, nous reçûmes un avis à la batellerie informant d'une crue qui s’avérera être une des plus importantes de ces dernières années ! Nous arrivâmes malgré tout jusqu'à Osselle, où le bateau restera une semaine, attendant que les eaux veuillent bien redescendre le minimum nécessaire. La suite du voyage (sans marche arrière rappelons-le) sur le Doubs bien chargé, se passa (presque) sans encombres, hormis une petite erreur de débutant (mais nous le sommes à vie, je le crains fort) qui me fit voir une cascade à une distance beaucoup plus courte que respectable, et l'arrivée, sans demi-tour ni galipette, ne se fît plus attendre et le bate...